Thérapeute reconnue assurance complémentaire ASCA Neuchâtel

Accompagnements thérapeutiques somatiques & vibratoires

Pour revenir à ton corps, ta présence, ton axe

bienvenue

Une démarche profonde, sensible et incarnée

Mes approches thérapeutiques s’ancrent dans le corps, le souffle, l’inconscient et les dimensions plus subtiles du vivant. Elles accueillent ce qui cherche à être entendu en toi, et libèrent ce qui entrave ton équilibre et ton bien-être au quotidien.

Mes accompagnements

La Trame Ōriginelle

La Trame Ōriginelle est un accompagnement thérapeutique profond qui relie souffle, corps et conscience pour faire la paix avec toutes les parts de toi et retrouver une stabilité intérieure durable.

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Trame du Bassin

Un travail somato-énergétique autour du bassin, du psoas et de l’énergie vitale,

pour restaurer la joie et plaisir d'être en vie.

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Respiration Holosacrée (Breathwork)

Une exploration par le souffle pour libérer les tensions, traverser les émotions retenues et retrouver un espace de présence élargie.

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À tous ceux et celles qui sont sur le chemin de la Réconciliation 🕯

Non. Contrairement à beaucoup, je n’accompagne pas parce que j’aime l’humain, mais parce que je le comprends dans ses ombres. Les miennes m’y ont conduit.

Il vient un moment où la spiritualité, telle qu’on la conçoit habituellement, cesse d’être nécessaire. On atteint alors un plafond invisible, et où la grande Conscience nous invite à ne plus suivre les chemins tracés par les gourous, chamanes, mais à reconnaître la lumière qui réside en nous, chacun de nous.

Un jour arrive où l’on comprend qu’il s’agit aussi de sortir des cases dans lesquelles on peut s’enfermer sans même s’en rendre compte celles où, en fuyant un monde trop dur, trop insensible ou trop injuste, on finit par se retrancher dans un autre, en croyant peut-être qu’il est meilleur.

Un jour arrive où l’on n’a pas besoin de participer à des cercles de chants sacrés pour reconnecter le Divin, car il se révèle tout aussi bien dans un concert de musique classique.

Où le thérapeute n’a plus à se prétendre parfait, enfermé dans une posture soi-disant alignée, mais dissimulant une profonde rigidité. Il peut simplement être humain, enlacer celui qui se tient devant lui, et laisser deux cœurs battre à l’unisson, se réguler mutuellement.

Ce jour-là, la quête de guérison fait place à celle de l’acceptation, à l’art de naviguer dans le flot de la vie.

Quelle beauté que d’être vivant humain, vulnérable, fort et changeant ! Quelle douceur d’être pleinement ancré, á l'écoute et incarné.

Avec présence,

Andrea Amorim

1. L’attitude intérieure
Ne pas chercher à changer quoi que ce soit, même si frustrant pour le personnage et totalement illusoire d'ailleurs. C’est cela, contenir : offrir un espace assez vaste pour que l’émotion ait le droit d’exister, sans que tu deviennes elle.
Tu peux te dire simplement : « Voilà, il y a de la colère ici. » « Il y a de la peur dans ce corps. »
En nommant ainsi, tu te replaces dans la conscience qui observe, non dans le personnage qui subit, car tu n’es pas ce qui t’arrive : tu es ce qui en prend soin.
C’est une posture d’accueil et de bienveillance envers soi-même.

2. Le processus de conscience
À force de pratiquer cette présence, quelque chose s’élargit. Un espace se crée entre ce que tu vis et celle ou celui qui en est témoin.
Alors, la vie peut tout y déposer : la joie, la peur, le doute, la lumière. Tu accueilles. Parce que contenir, au fond, ce n’est pas devenir fort·e, c’est devenir vaste, multiple, humain·e.
Les émotions et les pensées continuent de traverser, mais elles ne te définissent plus : elles deviennent simplement des mouvements de la vie.

3. La mise en pratique
Apprendre à descendre dans le corps, c’est un chemin concret et vivant. Ramène la conscience dans la matière, la respiration, les gestes ordinaires :
• Quand une émotion se présente, prends une respiration lente et profonde. Sens où cela se passe dans ton corps.
• Quand tu marches, ressens le contact de tes pieds avec le sol.
• Quand tu sens une tension, permets-toi un petit mouvement, une expiration plus longue.

C’est dans cet esprit que je t'accompagne en séance individuelle : pour apprendre à ressentir, à laisser circuler, à t’ancrer, et à ne plus t’identifier au mental ou au personnage blessé.
Peu à peu, tu découvres qu’il n’y a rien à atteindre.
Les méthodes miracles n'existent pas, sans retour à ta présence, pas de vraie reprise de pouvoir.

Le monde a besoin de plus d’êtres vrais,
pas de gens parfaits.
Je t’accompagne dans ce retour au cabinet,
au travers la Trame Ōriginelle
un accompagnement unique qui te ramène aux bases de tes fondations, pour que tu puisses redevenir libre.
🤍 Si ce texte résonne, partage-le à quelqu’un qui en a besoin.

Quand une émotion monte, ou que tu es traversée par des états d’âme intenses, c’est ton système nerveux qui réagit à une charge de vie : une mémoire, un ancien schéma de protection…Il essaie simplement de digérer quelque chose qu’il n’a pas pu intégrer avant. C’est un mouvement d’intelligence corporelle.

Le problème, c’est qu’on ne nous a jamais appris à traverser sans s’y coller. Alors, tu es invitée à passer du réflexe de survie au mouvement de vie. Parce que ce n’est pas la douleur que les émotions te font ressentir qui fait mal, c’est la résistance à vivre ces espaces.

Quand tu apprends à les ressentir sans t’y attacher, tu découvres que ton corps sait déjà réguler, libérer et transformer.

Mais cela demande du courage :
le courage de ne pas aller bien par moments,
d’oser dire “non, ça ne va pas fort” quand on te demande “comment ça va ?”, sans te sentir obligée de te justifier, et surtout, sans craindre d’être jugée, moins forte, hypersensible, ou instable.

C’est accepter de descendre de temps en temps,
quand ton cycle menstruel t’y invite, à visiter ces espaces d’introspection qui, en temps normal, restent tapis dans l’ombre.

Et nous, les femmes, avons cette chance :
celle de pouvoir visiter ces profondeurs, notre matrice chaque mois, qu’on le veuille ou non, consciemment ou inconsciemment, pour transmuter, alchimiser la lave de nos souffrances et celles de l'humanité.

Mais pour cela, nous devons rétablir les fondations de notre sol. Revenir au corps. Revenir à la terre. Revenir à soi.

✨ C’est bientôt le dernier moment pour participer au Stage SAUVAGE, qui aura lieu les 1er et 2 novembre, entre femmes, à La Chaux-de-Fonds.

Écris-moi en MP si tu souhaites rejoindre le cercle.

La douceur est une forme de force tranquille où il faut d'abord avoir construit les contours qui la rendent possible.

Es-tu assez doux, douce avec toi-même ?

- On peut être feu, sauvage, vibrant.e, intense…
et choisir une seule personne.
- On peut aimer profondément, s’abandonner à la puissance de la vie, et rester fidèle à un amour unique, parce qu’il nous nourrit, nous élève, nous révèle.

Être ouvert.e à la vie, c’est oser vivre intensément ce qui est là, maintenant,
sans se trahir,
sans s’éteindre,
sans mentir.

Ce n’est pas la structure du couple qui enferme,
c’est le manque de conscience qu’on y met.

Le couple “conventionnel” peut être une cage…
ou un temple. Tout dépend de l’espace qu’on y laisse circuler : la vérité malgré les peurs que cela révèle ou le mensonge que cela cache.

On peut vivre une relation d’une profondeur telle qu’elle devient un voyage infini à deux, un espace de création, d’exploration de nos enfants intérieurs respectifs, qui s'amusent à jouer ensemble, dans des corps d'adultes.

Là où le corps, le cœur et l’âme se rencontrent pour se dire : Je te choisis, mais je ne m’oublie pas.

Être Sauvage c’est la part en nous qui dit :
“Je reste libre, même quand j’aime.
Je reste feu, même quand je m’ancre.”

Le couple conventionnel a souvent été conçu comme un refuge, mais aussi comme une frontière. On y cherche la sécurité, et parfois on y perd la brûlure. Pourtant, ce n’est pas l’exclusivité qui enferme, c’est la peur. La peur de perdre, la peur de ne pas être « assez », la peur de se montrer entièr.e

Être flamboyant.e dans une relation n’exige pas forcément d’en avoir plusieurs, mais ça exige une vérité nue. Celle de dire : voici ma force, ma sensualité, mes désirs, mes contradictions.
Et d’être aimé.e là-dedans, sans que l’autre veuille te rapetisser pour se rassurer.

Le polyamour ou la liberté amoureuse peuvent offrir cet espace d’expansion, oui.
Mais ils ne sont pas la seule voie.
Certaines flammes se consument à plusieurs, d’autres s’élèvent à deux, tout dépend de la qualité du souffle qu’on y met. L’amour, qu’il soit exclusif ou multiple ne demande qu'une seule chose : le courage d’être entier devant l’autre.

Et c’est exactement ce chemin que j’ouvre avec Stage SAUVAGE, les 1er et 2 novembre. 2 jours pour aller à la rencontre de ton feu, que tu soit en couple, célib ou entre les 2 !

Ces dernières semaines, je reçois beaucoup de femmes entre trente et cinquante ans,
à ce moment charnière où la vie demande d’être vécue autrement. (bonjour l'effet miroir 🥰)

Des femmes en pleine mue, en pleine renaissance.
Elles ont décidé de se choisir, certaines pour la 1ère fois et d'autres, une fois de plus. De déconstruire ce qu’on leur a appris à être, pour reconstruire à partir de ce qu’elles sentent vrai.

Je vous vois choisir la liberté, même quand elle dérange. Et je vous salue.

Parce que vous êtes courageuses.
Parce que vous inspirez.
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#Femmesouveraine #féminin #fémininsacre

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Thérapeute en médecine complémentaire agréée ASCA à Neuchâtel et La Chaux-de-Fonds, Andrea Amorim propose un accompagnement psychocorporel intégrant sophrologie, hypnose, breathwork et pratiques somatiques. Un soutien en profondeur pour la régulation du système nerveux, la libération des tensions et le retour à une présence incarnée.

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